À bas les crèmes! Ou pourquoi privilégier les huiles végétales riches en acides gras essentiels pour les soins du visage?
L’épiderme est composée de cellules de kératine (elles-mêmes composées d’eau) qui sont entourées d’un tissus intercellulaire, sorte de ciment ou de scellant qui travaille à maintenir l’humidité de la peau et donc à limiter l’évaporation de l’eau contenue dans la kératine, fréquente notamment en période hivernale ou en situation d’agression (froid, exposition au soleil, etc.). Ce tissus intercellulaire est fait principalement d’acides gras complexes, ce qui le rend imperméable à l’eau des crèmes, mais le prédispose à une parfaite assimilation des huiles végétales (macérâts de plantes, abricot, jojoba, bourrache, onagre, etc.) qui ont une structure moléculaire similaire. Riches en acides gras essentiels, elles sont nutritives, protectrices et lui assurent de jouer parfaitement son rôle. Nos crèmes commerciales, plus légères il va sans dire, sont composées d’eau (qui au final s’épavore puisqu’elle n’est pas absorbée), d’huiles ou plutôt de dérivés d’huiles (pour nombreux pétrochimiques et qui n’ont plus aucun principes actifs), d’émulsifiants (il faut bien lier l’huile et l’eau qui ne font pas ménage aisément) et d’agents de conservation (chimiques, vous l’aurez deviné!). À la différence des crèmes, les baumes et sérums à base de macérât de plantes et\ ou d’huiles végétales complètes, nécessitent pour bien pénétrer l’épiderme le temps et la chaleur d’un massage d’une minute ou deux. Aux peaux grasses, on associera des huiles plus légères (jojoba, noisette), alors que les peaux sèches ou matures se réjouiront au contact des huiles plus riches (bourrache, onagre, argan).
Source: SLOW Cosmétique: des huiles végétales pour ma peau, Julien Kaibeck.
L’épiderme est composée de cellules de kératine (elles-mêmes composées d’eau) qui sont entourées d’un tissus intercellulaire, sorte de ciment ou de scellant qui travaille à maintenir l’humidité de la peau et donc à limiter l’évaporation de l’eau contenue dans la kératine, fréquente notamment en période hivernale ou en situation d’agression (froid, exposition au soleil, etc.). Ce tissus intercellulaire est fait principalement d’acides gras complexes, ce qui le rend imperméable à l’eau des crèmes, mais le prédispose à une parfaite assimilation des huiles végétales (macérâts de plantes, abricot, jojoba, bourrache, onagre, etc.) qui ont une structure moléculaire similaire. Riches en acides gras essentiels, elles sont nutritives, protectrices et lui assurent de jouer parfaitement son rôle. Nos crèmes commerciales, plus légères il va sans dire, sont composées d’eau (qui au final s’épavore puisqu’elle n’est pas absorbée), d’huiles ou plutôt de dérivés d’huiles (pour nombreux pétrochimiques et qui n’ont plus aucun principes actifs), d’émulsifiants (il faut bien lier l’huile et l’eau qui ne font pas ménage aisément) et d’agents de conservation (chimiques, vous l’aurez deviné!). À la différence des crèmes, les baumes et sérums à base de macérât de plantes et\ ou d’huiles végétales complètes, nécessitent pour bien pénétrer l’épiderme le temps et la chaleur d’un massage d’une minute ou deux. Aux peaux grasses, on associera des huiles plus légères (jojoba, noisette), alors que les peaux sèches ou matures se réjouiront au contact des huiles plus riches (bourrache, onagre, argan).
Source: SLOW Cosmétique: des huiles végétales pour ma peau, Julien Kaibeck.